Sinopse
Le recueil est riche en «contes cruels», qui abordent les gouffres noirs de l'être humain. On y rencontre aussi des histoires comiques. Les femmes y sont décrites comme menteuses, entièrement soumises à leur physiologie, et à leur intérêt amoureux. Les deux sexes sont incapables de se comprendre, affirme Maupassant, grand lecteur de Schopenhauer. Les hommes ne sont pas présentés de manière plus optimiste : brutaux, naïfs, odieux. Il y a aussi les exclus de la vie ou de la société : vieilles filles, enfants naturels, drogués, prêtres, femme défigurée, aveugle, paralytique : l'homme est cruel envers les faibles. La guerre est l'expression favorite de cette cruauté, que dénonce la nouvelle «Le Père Milon».